Le 17 mars 2020, un confinement strict de la population française débutait, afin d’endiguer la propagation de l’épidémie de Covid 19. Soudainement, tout s’est arrêté: les mobilités, les échanges, le tourisme, les écoles, les universités, les centres commerciaux, les aéroports, les usines, les cinémas, les théâtres…
Dans ce contexte inédit, le géographe Michel Lussault décide de réaliser des chroniques vidéos dites de “géo’ virale”, afin de “ne pas confiner idiot” et de partager une expérience de réflexion à voix haute. Il s’agit de “penser le Monde avec le virus” car la diffusion de la maladie révèle les caractéristiques majeures de la mondialisation, notamment l’urbanisation généralisée de la planète. La pandémie procède du caractère systémique du Monde, elle témoigne de ses vulnérabilités, elle souligne l’ampleur des injustices sociales.
Dans ce contexte inédit, le géographe Michel Lussault décide de réaliser des chroniques vidéos dites de “géo’ virale”, afin de “ne pas confiner idiot” et de partager une expérience de réflexion à voix haute. Il s’agit de “penser le Monde avec le virus” car la diffusion de la maladie révèle les caractéristiques majeures de la mondialisation, notamment l’urbanisation généralisée de la planète. La pandémie procède du caractère systémique du Monde, elle témoigne de ses vulnérabilités, elle souligne l’ampleur des injustices sociales.
Ce livre reprend le propos des dix chroniques postées du 23 mars au 11 mai 2020 (premier jour du déconfinement progressif). L’auteur y a ajouté un commentaire, qui met en perspective critique chaque épisode, ainsi qu’une conclusion qui présente la pandémie comme un “fait anthropocène total”. Enfin, la dessinatrice Lou Herrmann a conçu une planche graphique qui offre un parcours original au sein des chroniques, permettant ainsi d’enrichir l’expérience de lecture par ce déplacement de regard.
Impression
Imprimerie Ott, Brumath (67)